Annie Mignard  écrivain

presse sur “Va voir là-bas si j’y suis”

LIBÉRATION - Marie-Odile Delacour



DÉSORDRE-AMOUR-SAUVAGE-NATURE-SOCIAL...

Revue “Utopie” de juillet



    Les pages de ce numéro de juillet d’”Utopie” s’égrènent, je m’y enfonce, je m’aperçois que je n’aurai pas la place de vous les dire toutes. Si, l’avant-dernière peut-être, “Va voir là-bas si j’y suis. Annie Mignard parle du dégoût, des remous de violence (pourquoi pas?) qui nagent autour de Psychépo et de “l’affaire Mireille Deconinck”. “Une haine qui a si peu de recul (comment faire pour en avoir?), si peu d’humour

qu’on se dit qu’il est nécessaire dans la vie de tuer symboliquement quelqu’un - une figure de mère, est-on obligé de constater en l’occurrence - il n’y a pas de quoi en faire tout un plat.” Ouf, elle ajoute: “On me dira qu’elles l’ont bien cherché à la Librairie des Femmes, en faisant les prétentieuses...” S’en sort bien, la copine, elle réussit à prendre le recul que je n’arrive pas à prendre.


    Long texte à méditer. La chute est engageante: “Que faudra-t-il pour que les hommes se mettent, eux aussi, à parler innocemment, sans peur et avec le risque de reproches? Que ça n’engage à rien?...